Flysurf & Kitesurfing

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 C'est aux États-Unis, dans les années quatre-vingt, qu'apparaissent les premiers engins nautiques tractés par cerf-volant. Le but des inventeurs était de battre le record du monde de vitesse sur l'eau. Mais le manque de fiabilité et de maniabilité a freiné le développement de ce sport.

Les pionniers du kite-surf ou cerf-volant tracté (que l'on trouve nombreux en France, le brevet d'un type de kite surfing ayant été déposé par un Français) s'éclataient en descendant le vent sur des kilomètres. Inconvénient majeur : il fallait être soit bon marcheur, soit avoir un copain sympa pour remonter la plage en voiture, soit avoir deux voitures ! L'avenir du cerf-volant tracté passait par la possibilité de revenir à son point de départ. C'est chose faite grâce à la persévérance de quelques passionnés comme Eric Sauré, Raphaël Salles et Laurent Ness. Installés près des plages les plus ventées d'Europe, en Languedoc-Roussillon, ils ne rêvent plus qu'à démocratiser le cerf-volant tracté…

 voir aussi les débuts du KiteSurf

 Video sur l`histoire du Kitesurf et ses origines : ICI

 

3 hommes pour une folie :

Vous voici au creux d'un waterstart d'un genre nouveau. Bon, alors, ça vient ce vent ?

Raphaël Salles : l'un des ténors du windsurf de la fin des années quatre-vingt au début des années quatre-vingt-dix, Raph développe à Grabel sa marque de flotteurs (F1) ainsi que ses planches de cerf-volant tracté.

Laurent Ness : champion de France 97 de char à cerf-volant. Dirige le shop Axel Cerf-Volant à Carnon.

Eric Sauré : conçoit et fabrique ses propres cerfs-volants tractés depuis quatre ans. Président de l'association « Dans le vent » à Perpignan.

Le matos ?

Une planche de 2,15 m plus solide qu'un surf pour résister aux chocs dans les sauts. La forme du surf est profilée pour remonter au vent. Les straps sont équipés d'amortisseurs en mousse sous les talons pour le confort à l'atterrissage. La bonne solution est d'utiliser une voile qui redécolle de l'eau grâce à un boudin gonflable (ex. La Wipika). Le pilote et le cerf-volant sont reliés par un « wishbone » et des lignes (2 ou 4) de 10 à 45 m. a

Salles : « Sans vagues, je monte à 7 m de haut sur 20 m de long ! »

Dans la famille : « Je voudrais faire un beach start façon rock start » « La première sensation, c'est la légèreté et la douceur de la glisse.

Quand je navigue par vent fort, sans vagues, je monte à 7 m de haut et je plane sur plus de 20 m. Dans les vagues, c'est hyper facile, pour catcher la déferlante et faire des manœuvres, c'est de l'enfantillage. Au Cap-Vert, je l'ai fait essayer à un gars qui n'avait jamais fait de vagues, il est entré plein pot au creux du swell et s'est offert ses premiers off-the-lips. Les réceptions en sauts ? Incroyablement douces ! »

 

Reflexion sur l'évolution du kitesurf...

LE WIPI CAT SPATIAL

 Etant donné ,

· Que les photons émis par une étoile possèdent une certaine énergie.
· Que celle-ci peut-être captée sous forme de pression sur une voile réflechissante déployée dans le vide spatial.
· Que la dite voile peut être reliée et manoeuvrée par un véhicule spatial.

On doit donc , pouvoir concrétiser le concept du char à cerf-volant spatial engin écologique ( non motorisé ) et qui profitant du zérofrottement, et d'une poussée permanente ( naviguant d'une étoile à l'autre ) donc d'une accélaration permanente ( exception faite des actions en champs granitiques ) est le seul véhicule à l'heure actuelle à pouvoir en théorie approcher la vitesse de la lumière . Seul petit défaut.....une voile d'entrée de gamme de plusieurs kilomètres carrés.....Alors , à vos machines !

 

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